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Le Figaro: "Madonna fait trembler l'industrie du disque" (son contrat de 120 millions de $ + news sur son prochain album "Connextion")

* la chanteuse la mieux payée et la plus riche du monde *

Madonna et sa nouvelle version de "La Isla Bonita" (version gitane) avec les Gogol Bordello au concert Live Earth:

Madonna fait une page entière centrale du Figaro saumon d'avant hier, autrement dit, une page entière du Figaro section Economie, voici les articles (scans + retranscription partielle) qui mentionnent aussi Mariah Carey, Celine Dion, Jennifer Lopez. Cliquez sur chacun des 2 scans pour les agrandir et lire.

Sur ces scans il y a 4 parties à lire, 4 textes en somme:
- Madonna fait trembler le disque
- l'artiste pourrait signer un contrat en or dans le parfum
- des tournées de plus en plus rentables
- la chanteuse la mieux payée du monde

Les articles en gras ci-dessus, on peut aussi les trouver sur le site du Figaro economie, je vous les retranscris ci-dessous, mais les 2 articles intitulés "des tournées de + en + rentables" (qui expliquent pourquoi les stars font de plus en plus de tournée) et "contrat en or dans le parfum" sont à lire sur mes scans directement, il suffit de cliquer sur chacun des 2 scans ci-dessus.

Madonna fait trembler le disque
source: Le Figaro
credits: Lena Lutaud
Photos: Pizzello/AP
lien url: http://www.lefigaro.fr/economie/20071026.WWW000000809_madonna_fait_trembler_le_disque.html

La star mondiale quitte Warner pour Live Nation.

C’est le transfert de la décennie. Mi-octobre, après 25 ans chez Warner Music, Madonna a rejoint le nouveau géant du show-biz, Live Nation, pour 120 millions de dollars. Une somme qui se divise, selon le Wall Street Journal , en un minimum garanti de 17,5 millions de dollars, une avance de 50 à 60 millions et 50 millions versés en cash et en actions. En échange, Live Nation a obtenu le droit de gérer, pendant dix ans, la carrière de Madonna à «360 degrés». En clair: de produire trois disques, d’organiser ses tournées, de vendre ses produits dérivés et de négocier ses contrats publicitaires.

Du jamais vu puisque jusque-là, les recettes d’un artiste étaient partagées entre la maison de disque, le tourneur et l’agent spécialisé dans les licences. Avec ce contrat, Live Nation est, depuis quinze jours, l’ennemi numéro un des multinationales du disque comme Universal, EMI, Sony BMG et Warner. Déjà bien mal en point puisque les consommateurs achètent deux fois moins de CD, elles ne craignent qu’une chose: que d’autres stars les abandonnent pour suivre Madonna. D’autant que leurs malheurs ne s’arrêtent pas là. Le même jour que Madonna, le groupe anglais Radiohead a vendu son album In Rainbow sur Internet. Et sans imposer de prix. Ce sont les clients eux-mêmes qui décidaient du montant qu’ils voulaient payer.

Néanmoins, c’est avec l’affaire Madonna que les jours des maisons de disque sont comptés. Et risquent de se transformer en simples distributeurs de CD. Live Nation a clairement démontré sa détermination à prendre d’autres artistes aux maisons de disque. Le nouveau géant du show-biz prend néanmoins de grands risques. Coté au Nasdaq, les conditions du contrat de Madonna suscitent les réserves des analystes, notamment ceux de Standard & Poor’s.

Contrôle de toute la chaîne

Jusque-là, Live Nation, basé à Beverly Hills, produisait des concerts. Les tournées des Rolling Stones, de Barbra Streisand, de U2, de Joe Cocker, de Police ou encore de George Michael, c’est Live Nation qui les organise. Au fil du temps, sous la direction de son Pdg Michael Rapino, Live Nation s’est discrètement transformé en géant mondial avec 3,7 milliards de dollars de chiffre d’affaires pour 4 400 salariés. Grâce à une stratégie de rachats, de tourneurs (Jackie Lombard en France, mais aussi Michael Cohl, le tourneur des Rolling Stones) comme de salles mythiques (17 salles dans le monde dont l’Apollo Theatre à New York et le Wembley Arena à Londres), Live Nation croit de 25% par an. Il contrôle désormais toute la chaîne: de l’artiste aux concerts, à la vente de billets, au merchandising, aux fan-clubs en passant par la vente de tickets en ligne aux salles.

Mais à quel prix? Rentabiliser les 120 millions de dollars promis à Madonna ne va pas être évident. Pour cela, il faut que la star, qui fêtera ses 50 ans en 2008, maintienne son rythme de travail jusqu’à ses 60 ans. Il faut qu’elle ait la force de faire trois tournées mondiales d’ici à 2018. Selon les analystes financiers, avec une star de son calibre, Live Nation peut espérer gagner 7 millions de dollars en vente de tickets, 7 millions en merchandising, 42 millions de dollars avec les concerts, soit un total oscillant entre 126 et 141 millions de dollars. La différence se fera sur les contrats publicitaires.

La chanteuse la mieux payée du monde
source: Le Figaro
credits: B.D et L.L
lien url:
http://www.lefigaro.fr/economie/20071026.WWW000000811_la_chanteuse_la_mieux_payee_du_monde.html

Louise Ciccone est une redoutable femme d’affaires. Elle a bâti l’une des premières fortunes du show-biz.

A LONDRES, ses investissements fascinent. Déjà propriétaire d’écuries et de deux maisons à Belgravia, le plus chic quartier de la capitale anglaise, Madonna vient d’y acquérir une troisième demeure. En incluant le château d’Ashcombe House dans le Wiltshire, autrefois propriété de Cecil Beaton, Madonna règne – rien qu’en Angleterre – sur un patrimoine immobilier estimé à 29 millions d’euros. Une goutte d’eau comparé à sa fortune, évaluée cet été par Forbes à 325 millions de dollars (227 millions d’euros).

En femme d’affaires avisée, Louise Ciccone a toujours diversifié ses revenus entre la musique, les concerts, les DVD, les contrats publicitaires, l’immobilier et le cinéma. Véritable rouleau compresseur marketing, elle s’est arrangée depuis vingt-cinq ans pour toujours être dans le feu de l’actualité. Côté albums, avec 35 singles classés dans le Top 10 américain et 150 millions d’albums vendus, Madonna est la plus importante vendeuse de disques au monde. Mais elle a connu d’impressionnants hauts et bas commerciaux, en raison de ses paris artistiques qui ont plusieurs fois désarçonné son public. Après les sommets de Like A Virgin et True Blue, en 1984 et 1986, respectivement vendus à 21 et 25 millions d’exemplaires, elle est tombée à 5 millions d’exemplaires avec Erotica en 1992, avant de remonter à 18 millions avec Ray of Light (1998), de rechuter à 5 millions pour American Life (2003) et de revenir à 11 millions avec Confessions on a Dance Floor (2005).

Par comparaison, la championne des ventes des années 1990, Mariah Carey, écoule 118 millions d’exemplaires de ses six albums, soit une moyenne de 19,6 millions par disque, contre une moyenne de 9,66 millions pour les trois albums que Madonna sort au cours de la décennie.

Les demandes se multiplient

En tournée, ses concerts toujours plus sophistiqués empruntent au gigantisme rock façon Rolling Stones comme aux meilleures recettes chorégraphiques de Broadway. Et les prix des places s’envolent. Madonna est la première artiste du monde de la pop à atteindre certains seuils symboliques, comme les places de 51 à 135 euros pour l’étape parisienne du «Drowned Tour» de 2001. Billboard, le magazine américain du show-business, est formel: la tournée «Confessions Tour» de Madonna en 2006, a été le plus gros spectacle donné par une femme dans l’histoire de la musique populaire, avec 1,2 million de spectateurs et 260 millions de dollars de chiffre d’affaires pour seulement 60 concerts. Côté contrats publicitaires, Madonna a touché le jackpot en dessinant une collection de robes et de tailleurs pour le géant H&M. Celle-ci aurait rapporté 20 millions de dollars.

Mais depuis le contrat avec Live Nation, les demandes se multiplient. Madonna serait en négociation avec le géant des fragrances suisse Firmenich pour lancer un parfum. Ce flacon, attendu depuis vingt ans, pourrait rapporter 200 millions de dollars. Autant dire que 2008 s’annonce comme une nouvelle année faste. Outre un album en mars, la star se préparerait à partir en tournée l’été prochain. Le 16 août, date de ses 50 ans, ses fans espèrent la voir au cœur de New York à Central Park pour ce qui promet déjà d’être le concert de l’année.

Voici enfin les dernières news concernant le prochain album de Madonna (source: Madonnalicious.com)

New album news

Posted: 25 October 2007

* It has a tentative release date in the US of Tuesday 11 March (sortie prévue le Mardi 11 Mars)

* It has a working title of Connextion - although this will be changed for release (pour l'instant le titre serait "Connextion")

* It currently contains 12 tracks (pour l'instant l'album comporte 12 titres)

* The Beat Goes On track that was leaked a few months ago actually is the finished product for the album (The Beat Goes On, l'affreux single qui a leaké sur le net, est le produit fini qui figurera sur l'album. sic.)

* Another song is a ballad, much like the tone of Promise To Try but is more about a rebirth than death (une autre chanson sera une ballade, dans le même style que "Promise To Try" de l'album "Like A Prayer" et parlera plus de renaissance que de mort)

* There is another song with a strong techno 'thump' with just Madonna singing, no other musical sound and it works pretty well, almost haunting and stays with you (il y aura une chanson qui aura un thump techno intense avec juste Madonna qui chante dessus, sans aucun autre ajout d'instrument et ça fait vraiment son effet, ça vous hante)

Create polls and vote for free. dPolls.com

le critikeur le 28.10.07 à 14:02 dans music news

article interressant mais qui manque serieusement de precision et de rigueur/

si j ai bien compris l avantage pourl artiste, c est que son avance est plus important que ce que peut proposer la plupart des maisons de disques actuelles....dc bcp d artistes aimeraient rentrer ds cette branche live nation

et l avantage pour live nation c est de recevoir des recettes sur l ensemble des droits droits derivés de la star....ok bon.
2 choses:

ce genre d avance et de contrat ne peut se faire que sur certaine personnes (ca se compte sur le doigt de la main) suceptible de pouvoir rentabliser (on va dire keys j lo janet, dion, madonna ,michael, whitney et maraih...)....or ds une epoque ou tt change tres rapiddement comment prevoir la carriere d une artiste sur 10ans et comment savoir si elle sera au gout du jour (je vous rappelle qu a partir de glitter on disait maraih carey completement out. et pourtant trois ans apres The comeback..)

deuxiement un truc que j ai aps compris, ce que fais live nation etait plus ou moins le boulot d une maison de prod normale hormsi peut etre les tournées....or si les maisons de prod font des offres et des avances de moins en moins interressantes c est pas pour rien; y a plus de fric a cause du telechargement:
dc je vois pas pourquoi live nation s en sortirai mieux que sony warner pour rentabliser....

or d apres ce que dit l art, les maisons de prod ont peur que leurs artistes partent mais:
soit live nation leur fera une offre moyenne car ils sont pas connus et dc un potentiel commercial faible (dc aucun interet pour l artiste en questionde de partir....)
soit live nation compte faire des supers offre a chaque nouvel artiste (faut m expliquer comment rentbliser ds ce cas car les maisons de prod classiques ont deja du mal avec des avances pourries et pourtant elles prennent elles aussi un max sur les recettes en tt genre...)
enfin rien n empeche les maisons de prod actuelles d orienter une poltique similaire a savoir toucher une peu plus de fric sur les tournées et de prevoir ca ds le contrat(chose que je pensais qu elle faisait deja...)

q - 28.10.07 à 15:02 - # - -

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Message - 29.10.07 à 02:33 - # - -

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