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Le magazine Rollingstone note l'album de Céline Dion à sa juste valeur.

* enfin une review qui dit la vérité *

La chanteuse Patti La Belle disait récemment que Céline Dion vendait beaucoup plus parce qu'elle était blanche (en faisant référence à la chanson "if you asked me to" qui est à la base une chanson de Patti La Belle). En fait il faut aller beaucoup plus loin: Céline Dion vend avant tout une image qui rassure certaines populasses : c'est l'image qui rassure, très traditionnelle, la star des pauvres et des gens banals.
Après l'horrible album "D'elles" qui est une véritable insulte à la langue française et à sa grammaire (un album rempli de chansons déjà oubliées, jamais mémorisées d'ailleurs, malgré les refrains d'une grande tristesse et pauvreté musicales), elle nous revient, certes en forme vocale, mais avec cet album "taking chances" qui est une compilation de musiques d'ascenceur avec à peine 2 ou 3 mélodies possibles. Tout le reste n'est qu'hurlements et tics vocaux insupportables lorsque ce n'est pas de l'imitation pure et simple de styles empruntés et imités. Céline Dion est perdue et se prend maintenant pour une top model perchée du haut de ses talons aiguilles de 23 cm. L'article du rollingstone magazine est le premier qui ose enfin dire la vérité. Cette voix de couineuse est affreuse et le pire c'est qu'il n'y a quasiment aucune grande mélodie, que des petites compos de bas de gamme aux mélodies incertaines et peu solides. De l'aspartame en somme.

voici l'article du magazine: [lire la review du magazine Rollingstone]

Celine dion calling her new album Taking Chances? That's like a Zac Efron musical called Making Cops Shit Their Pants, or a Lil Wayne mix tape titled Bumming Bus Fare From My Mom. Celine's shtick is as safe a bet as there is in the music biz, coming a mere six months after her last album, the Canadian chart-topper D'Elles. Alas, her cat-strangling whine is still a remarkably ugly sound, no matter what she's singing. The days are gone when she had her pick of material, ruining perfectly nice pop-trash ballads from Diane Warren or Jim Steinman — no songs here by either of them, and Linda Perry's "New Dawn" is a Nineties leftover. She interprets Ne-Yo ("I Got Nothin' Left") and the Dream ("Skies of L.A.") with awful results. She goes back to Eighties schlockmeister Aldo Nova for "Can't Fight This Feelin'," which is unfortunately not an REO Speedwagon cover. But that's nothing compared to Dion shrieking the ten millionth version of Heart's "Alone" (mad pitchy, dog!), produced by ex-Evanescence guitarist Ben Moody — Amy Lee, meet the fugliest bullet you ever dodged.

ROB SHEFFIELD

Quant à moi, j'avais déjà reviewé cet album merdique sans étonnement finalement puisque cet album n'est rien d'autres qu'un autre produit marketé à fond dans la lignée de ses albums merdiques :

[Céline Dion, copieuse de première]

le critikeur le 02.12.07 à 12:09 dans music news

?

La star des pauvres???????????????????
Euh!!!!!!Vu le prix de ses albums j'crois pas
Des gens banals?????????????????????
Qui c'est?Je vois pas.Nous sommes tous formidable voyons lol

Non mais sérieux les fans de Céline sont des gens comme les fans de Tokyo hotel qui aime qqch qu'on ne voit pas.Soyons gentille.